
Comme il était tôt, nous avons pu nous asseoir devant à 2 mètres des musiciens ( et à 2 du fond de la pièce!). Il faut consommer au moins une fois par set, on peut acheter des CDs et il y a un pot où chacun donne ce qui lui convient. Tout cela sert à rémunérer les musiciens. Entre deux sets, nous avons pu discuter, en toute simplicité, avec le clarinettiste (Ben Schenck), qui parle très bien français et qui est venu jouer plusieurs fois en France.
Nous n'avons eu qu'à traverser la rue pour nous rendre au Snug Harbor, autre club un peu différent (antre du jazz moderne) : restaurant en entrant, arrière salle consacrée au Jazz (avec entrée payante).
Dans la rue, la foule est plus compacte et un peu partout fleurissent des groupes de jazz qui se forment au hasard des rencontres. Un jeune Français très sympathique a joué sur sa « batterie de cuisine » deux ou trois morceaux avec Panorama Jazz Band et nous l'avons retrouvé avec un autre groupe à l'extérieur (il n'était là que depuis 3 jours!).


Pas de clinquant dans les instruments, on pourrait les croire directement venus de la brocante!
(1) du plus aigu au plus grave : sopranino, soprano, alto, ténor, baryton, basse(très rare)
ce petit tour au pays du jazz donne des fourmis dans les jambes et une furieuse envie d'en faire autant! merci de nous faire partager ces moments précieux !
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